Militant de l’UDS-Togo dont il est chargé de la sécurité, il a été arrêté à Gbossimé le 10 décembre 2018, à l’occasion d’une manifestation de la C14 protestant contre la tenue des élections législatives qu’elle avait appelées à boycotter. Arbitrairement condamné le 31 décembre 2018 à 4 ans d’emprisonnement (jusqu’au 9 décembre 2022) pour « troubles aggravés à l’ordre public », il est injustement détenu alors qu’il aurait dû être libéré en application de la feuille de route de la CEDEAO qui prescrivait la libération de tous les manifestants arrêtés dans ce contexte.