Arrêté à Soudou, mais originaire d’Agbandawdè, il est décédé sans avoir été jugé ni condamné le 6 octobre 2020, lendemain de son évacuation au service de réanimation du pavillon militaire du CHU Sylvanus Olympio, des suites des tortures, traitements cruels, inhumains et dégradants qu’il a subis au Camp GIPN d’Agoè-Logopé, dans l’affaire « Tigre Révolution ».